Une relation amoureuse, c’est bien, une rupture, c’est mieux, il y a plus de choses à écrire, à raconter. Le malheur est vendeur. Hier Fluctuat proposait un superbe article sur les motifs de rupture des groupes de rock. Dans la foulée, Twitter livrait un hashtag de qualité similaire : #motifderupture.
Comment ça marche un “hashtag”, ce truc, là : “#”? Simple : un gars, un peu influent, décide qu’il est temps de faire parler de lui. Il envoie à deux trois potes un message privé : « Les copains, on lance le sujet de discussion MotifDeRupture ? ».
Ni une ni deux, le feu prend, la twittosphère s’agite et chacun y va de sa pensée, plus ou moins intelligente. Attention, ce que vous allez lire est de la matière brute, non censurée, non corrigée même quand il y a des fautes. Je me suis retenu pour que vous puissiez voir du contenu pur, sorti directement du cerveau des utilisateurs de Twitter, appelés aussi Twittos.