montre code 41 - NB24

CODE41 : la montre suisse pour homme qui casse les codes

Dès le départ, on te demande de te connecter : CODE41, ce n’est pas pour tout le monde, c’est une nouvelle forme d’exclusivité.

Faire partie de cette communauté de passionnés de l’horlogerie, ça se mérite, et ça vaut bien un clic en plus, non ?

Dans cet article, je vous présente une nouvelle manière de pratiquer l’horlogerie, puis on se plongera ensemble dans l’univers premium de CODE41.

En ce moment, ma fille devient de plus en plus curieuse. Elle veut comprendre comment fonctionnent les choses.

Elle dévisse, elle revisse. Elle vide, elle remplit. Elle assemble les LEGO, puis elle explose tout.

Avant de recommencer. J’aime bien la regarder jouer, elle est si minutieuse.

Et c’est exactement ce sens du détail, cette attention portée à chaque geste, à chaque pièce, qui a retenu mon attention chez CODE41.

J’ai eu la chance de découvrir récemment l’histoire de cette entreprise suisse qui détonne, et secoue l’univers feutré de l’horlogerie.

Tant du point de vue des méthodes que du point de vue des produits.

CODE41 : c’est quoi ce nom ?

Montre homme code 41

Si comme moi vous vous intéressez à l’horlogerie et aux belles pièces, vous en conviendrez : CODE41, ce n’est pas un nom traditionnel pour une marque de montres suisses.

Mais déjà, c’est quoi, une montre suisse ?

Comme pour le Made in France, le label Swiss made est chahuté : de nombreux horlogers réputés effectuent bien l’assemblage en Suisse… mais assemblent des composants made in China.

Pas d’omerta : chez CODE41, ils décident dès le début d’être 100% transparents, et créent le label TTO. TTO comme Total Transparency on Origin.

En clair : chaque collectionneur d’une montre CODE41 a accès à la carte d’identité de la montre, et sait exactement d’où viennent les composants.

On peut en rire entre nous 6 ans plus tard, mais au moment du lancement, ça a dû secouer les traditions helvétiques, pas franchement connues pour leur amour de la transparence.

Ça, c’était le premier acte.

Mais comme toute DNVB qui se respecte (je pense aux copains chez BonneGueule qui ont déjà publié ce type d’articles), CODE41 pousse le curseur encore plus loin sur la transparence, notamment en matière de prix.

Vous et moi, on ne sait pas évaluer exactement ce que coûte une montre, combien elle devrait coûter, si elle est surévaluée ou non.

C’est ainsi que CODE41 décide d’expliquer exactement ses prix. Et ça, peu de marques ont l’audace de le révéler.

J’ai d’ailleurs trouvé un cet article très intéressant, avec un vrai détail sur les prix, et un schéma qui montre bien les marges réalisées à chaque étape de la chaîne de distribution.

Si comme moi, vous vous intéressez au marketing, vous pouvez retrouver un schéma clair et en couleur sur le site de CODE41.

Comme vous le comprenez, distributeurs et détaillants font exploser le prix de la montre, et c’est au final le collectionneur, vous ou moi, qui paie la note.

Alors CODE41 a opté pour la désintermédiation : en anglais, je vous aurais dit « Kill the middleman », passons-nous des intermédiaires, vendons en direct.

Et c’est là qu’on arrive à un modèle très puissant : distribution exclusive et puissance communautaire.
Pour en découvrir plus, rendez-vous directement sur le site CODE41.

CODE41 : la puissance de la réflexion collective

montre Code 41 - DAY41
La montre DAY41 de CODE41

Ce qui est très fort, c’est que dès le lancement, CODE41 a misé sur la communauté et la qualité du produit, plutôt que sur la renommée du fondateur.

(ça me rappelle très bien la réflexion marketing de… Patrick Bruel, au moment où il avait lancé l’Huile H. Pendant deux ans, on n’a pas communiqué sur lui, mais sur le produit. Puis, une fois que le produit avait conquis le marché et gagné des récompenses lors des concours, on a commencé à révéler qui était derrière le projet.)

Le fondateur de CODE41 s’appelle Claudio D’Amore.

Né en Suisse de parents italiens, Claudio D’Amore obtient en 2000 un diplôme de designer HES à l’ECAL (école de design de Lausanne).

Il s’envole ensuite vers Londres pour travailler avec Ross Lovegrove, le célèbre designer londonien où il collabore au design de plusieurs montres pour TAG Heuer (V4, Carrera Calibre 360, Golf Watch).

De retour en Suisse en 2005, il fonde cosanova, un atelier basé dans le cœur de l’horlogerie suisse à Lausanne, non loin de Genève.

Ce qui me plaît chez CODE41 : la philosophie de toute cette équipe. Qui travaille depuis la Suisse pour faire des montres révolutionnaires. Proposées à la communauté. En édition limitée.

Voici 4 pièces que j’ai décidé de vous présenter :

Si faire partie d’une communauté qui ose et qui aime les belles montres vous intéresse, rejoignez-nous sur CODE 41 !

Les prochains modèles sont en train d’être designés, l’expérience participative est top.

PS : je porte en ce moment au poignet la NB24, je vous donne mon avis prochainement sur l’expérience !

Sélim

Published by Sélim Niederhoffer

J'écris des livres, des mails de vente, des pages de vente, des campagnes de pub aussi : je suis Sélim Niederhoffer, copywriter et coach en copywriting. Auteur du best-seller Le Guide du Copywriting chez Eyrolles (plus de 13.000 exemplaires vendus). J'écris pour Forbes.fr, glassdoor.fr, les-mots-magiques.com, et j'ai aussi été publié en papier chez Technikart et Playboy. Hobbies : faire du paddle, courir, et mettre du parfum même quand je suis tout seul chez moi. Mon prochain livre, Les Mots Magiques, sort en octobre 2024 chez Eyrolles. Je forme vos équipes au copywriting : contactez-moi.

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