2 minutes de pure folie qui nous font voyager dans un imaginaire univers masculin dans le nouveau spot de pub Heineken, The City. Un homme croise une jolie rousse, trouve son porte-carte dans un taxi : la course est lancée, comment va-t-il retrouver EVE, la première femme ?
Découvrez le nouveau spot « The City » du brasseur Heineken !
On retrouve toutes les tendances lifestyle actuelles dans The City :
Le barbershop où de merveilleuses créatures manient le couteau à la perfection, pour faire de notre héros un homme viril à moustache ! Toujours une Heineken à la main, bien évidemment.
Le clin d’œil à la sapologie, rien à redire, Lagaf serait fier de la couleur choisie. Papa Bakongo s’occupe de tailler un costard à notre héros, qui repart beau gosse, laissant notre sapeur en petite tenue…
Apprendre à danser le tango chez les Step Sisters est la troisième étape du voyage de notre héros, une vraie formation intensive pour faire de lui l’homme parfait ! Un homme qui ne sait pas mener une femme sur une piste de danse, quel dommage…
Des manières un peu cavalières lui permettent ensuite de remporter le fer à cheval, trophée de cette course épique à dos de cheval. (Va savoir pourquoi, le Ranjit local disparaît et notre héros finit sa quête à pied…)
Puis vient le boss final, l’obstacle ultime : LA porte. The door. Le videur, l’homme avec qui il faut négocier pour rentrer dans le saint des saints. Le cerbère que tout homme non accompagné redoute. Le dernier rempart, capable de vous asséner un fatal « Désolé monsieur, je n’ai pas le plaisir de vous connaître. » Bak style.
Notre héros réussira-t-il à get lucky en échangeant son fer à cheval contre une entrée en boîte ? Rencontrera-t-il l’amour dans le club EVE, aux néons qui évoquent celui de l’hôtel Amour ? Trinquera-t-il enfin avec sa bouteille verte et sa rousse si longtemps désirée ?
La suite au prochain épisode d’Heineken, “The City” ? Après la #StarExperience, Heineken continue son exploration de l’homme avec une autre facette du lifestyle masculin, sans les copains cette fois : moins de foot, plus de filles, qui va s’en plaindre ?
Sélim, observateur du masculin